Les autorités turques ont donc fait leur choix, entre le S-400 russe et le F-35 américain, elles ont préféré le système russe, entrainant naturellement la suspension des livraisons des appareils de Lockheed à l’armée de l’air turque. Après un mois de menaces et de rodomontades, ni Recep Tayyip Erdogan, ni Donald Trump, n’aura cédé, ce qui était somme toute largement prévisible, eu égard aux personnalités des deux hommes, au grand désespoir du général Mattis et de l’OTAN.
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