Depuis le début des années 2010, les annonces en matière de nouvelles technologies à potentiel militaire par la Chine et la Russie se succèdent, au point que parfois, on peut estimer que l’occident n’aurait plus l’avantage technologique qui fut pendant la guerre froide au cœur de sa stratégique de Défense. Mais de nombreuses voix s’élèvent pour mettre en doute la véracité de ces annonces, laissant planer le doute d’un grand bluff.
En une décennie, Russie et Chine ont fait montre d’un réel volontarisme en matière de programme de Défense, avec les avions dits de 5eme générations J-20 et Su-57, les blindés de nouvelle génération T-14 ou T-99, les systèmes de défense antiaérien et antimissiles S400/500 et HJ16 pour ne citer que quelques exemples. Parallèlement, les moyens militaires de ces deux pays ont été considérablement modernisés et renforcés, au point de représenter, désormais, une menace sérieuse pour les états-majors occidentaux. Mais ce sont les annonces concernant les programmes de recherche de pointe qui aujourd’hui inquiètent et interrogent.
Commençons par étudier le cas chinois
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