Si le vol hypersonique est aujourd’hui accessible grâce à des moteurs fusées, qui contrôlent la combustion qui procure la poussée en emportant la carburant et le comburant simultanément, les moteurs capables de fonctionner à de telles vitesses en utilisant l’air atmosphérique comme comburant restent encore à developper. Et le problème est loin d’être simple, car la vitesse et la température optimales pour le fonctionnement des stato-réacteurs, ne permettent pas de dépasser une vitesse de Mach 3,5.
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