Le 29 avril dernier, le porte-avions britannique HMS Queen Elizabeth appareillait de Portsmouth pour une longue campagne d’essais en mer. Auparavant, tout l’équipage a été testé contre le coronavirus, afin d’éviter à la Royal Navy de connaître les mêmes déboires que l’US Navy ou la Marine Nationale. Cette campagne de tests devrait permettre de qualifier le porte-avions pour ses premiers déploiements opérationnels, attendus désormais pour l’année prochaine. Dès 2021, donc, la Royal Navy devrait à nouveau disposer d’une capacité aéronavale, pour la première fois depuis le retrait des avions Harrier en 2010.
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