Cet article est la seconde partie d’une réflexion entamée dans un précédent article disponible ici.
Ces derniers mois, la guerre civile libyenne s’est intensifiée sur plusieurs fronts, et notamment dans la conduite des opérations aériennes et anti-aériennes. Dans le camp de l’ANL comme dans celui du GNA, les mini-drones ont progressivement été complétés par des drones tactiques, puis par des drones MALE armés.
Dans la première partie de cet article, publiée hier, nous avons expliqué commet l’utilisation de drones armés pour réaliser des frappes ciblées a conduit chaque camp à se doter de systèmes anti-aériens modernes. Ces derniers, particulièrement coûteux, ont à leur tour été pris pour cibles, confirmant par là même le potentiel des drones légers et médians dans le cadre d’attaques saturantes sur des systèmes de défense modernes.
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