Le Soft-Power et la faiblesse des armées de plus en plus critiqués en Allemagne

La crise qui oppose aujourd’hui la Turquie et l’alliance franco-grecque a été l’occasion, pour Berlin, d’une nouvelle fois tenter de mettre en avant sa conception des relations internationales et européennes, basée sur des rencontres diplomatiques, d’éventuelles sanctions économiques, et beaucoup de patience. Mais cette approche est, désormais, de plus-en-plus critiquée par nombre d’allemands eux-même, qui mettent en cause l’incapacité de Berlin, et surtout d’Angela Merkel, à envisager un autre mode d’action, si tant est que cela possible eu égard à l’état de délitement avancé des forces armées allemandes.

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