Le désert de Taklamakan, un espace désertique et très hostile de plus de 270.000 km2 en pleine territoire ouïgour dans le nord ouest de la Chine, avait été proposé en 2010 pour entrer au patrimoine mondial naturel de l’humanité. Cet espace aride qui voit des températures de 50°c en journée côtoyer des -40°c la nuit, est également une zone d’entrainement privilégiée pour l’Armée Populaire de Libération, qui y teste ses missiles balistiques depuis de nombreuses années. Récemment, toutefois, des formes incongrues pour cet environnement ont été relevées par les satellites d’observation occidentaux. En effet, les armées chinoises y ont construit des répliques simplifiées de plusieurs grands navires de guerre, en particulier les grands porte-avions de la classe Nimitz et les destroyers de la classe Arleigh Burke.
Le reste de cet article est réservé aux abonnés
Les abonnements Classiques donnent accès à
tous les articles sans publicité, à partir de 1,99 €.
Inscription à la Newsletter
Inscrivez-vous à la Newsletter Meta-Defense pour recevoir les
derniers articles de façon quotidienne ou hebdomadaire
Les commentaires sont fermés.