Vai pēc Itālijas arī Vācija iegūs superiznīcinātājus?

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La Marine militaire avait été, au cours de la Guerre Froide, le parent pauvre des forces armées de la République Fédérale d’Allemagne. Il s’agissait pour Bonn tant de limiter ses propres capacités de projection de puissance inhérentes aux flottes de haute mer, dans le respect de sa constitution, que de répondre à un besoin précis de l’OTAN, à savoir contrôler la Mer Baltique, alors que seuls la RFA et le Danemark avaient, à cette époque, des côtes sur cette mer. De fait, la Bundesmarine privilégiait alors des navires relativement compacts adaptés aux besoins spécifiques de la Baltique et de la Mer du Nord, l’exemple le plus flagrant étant sa flotte sous-marine composée de 11 Type 205, des sous-marins à propulsion conventionnelle de seulement 44 mètres de long et de 455 tonnes en plongée, armés par un équipage de 22 hommes, et aux performances limitées, notamment en terme de plongée avec une profondeur maximale de 100m. Pour autant, ces sous-marins, comme les corvettes des classes Guépard, Albatros et Tiger qui, elles non plus ne dépassaient les 500 tonnes, étaient bien adaptés pour les missions alloués par l’OTAN cette marine en Mer Baltique.

La Bundesmarine disposait toutefois de quelques navires de haute mer, comme les destroyers de la classe Hamburg de 4000 tonnes produits à 4 exemplaires entre entre 1959 et 1964, ou les 3 destroyers anti-aériens de la classe Lutjens entrés en service à partir de 1969. Toutefois, en comparaison des autres grandes marines européennes, comme la Royal Navy, la Marine Nationale et la Marina Militare, la Bundesmarine était clairement en retrait en matière de capacités de haute mer. Les choses ont quelques peu évolué depuis la réunification allemande et la chute du bloc soviétique. En effet, là ou les cotes baltiques étaient controlées avant tout par l’Union Soviétique (Russie, Estonie, Lituanie et Lettonie), par ses alliés polonais et est-allemands, ainsi que par deux pays neutres, la Suède et la Finlande, la carte a radicalement changé depuis, la Russie ne disposant plus que de 170 km de côtes sur cette mer, 10 fois moins qu’elle n’en contrôlait pendant la guerre froide. Ces changements géographiques, ainsi que l’évolution de la géopolitique perçue, ont entrainé une profonde transformation des forces navales allemandes, qui a remplacé ses 11 Type 205 par 6 AIP Type 212 zemūdenes ar 1830 tonnām, un atļauts apkalpot lielākus kuģus, kas labāk piemēroti atklātā jūrā, piemēram, 3 Sachsen klases pretgaisa iznīcinātājus ar 5800 tonnu, fregates 4 Brandenbourg fregates ar 4500 tonnām, kā arī 4 smagās fregates ar vairāk nekā 7000 tonnām. no Bādenes-Virtenbergas klases.

Fregate baden Wuttemberg F125 allemande Allemagne | Analyses Défense | Constructions Navales militaires
Les frégates F125 de la classe Baden-Wurtenberg sont aussi imposantes qu’elles sont sous-armées, ayant été conçues pour évoluer en zone de faible intensité.

A partir de 2028, la Bundesmarine doit recevoir 4 nouvelles frégates F126 destinées à remplacer les 4 Brandenburg entrées en service entre 1994 et 1998. Les nouveaux navires du programme MKS 180, toujours désignés comme frégate, atteindront un tonnage de 10.000 tonnes pour une longueur de 166 mètres. Pour autant, leur configuration fait beaucoup débat outre-Rhin. En effet, en dépit d’un important tonnage, d’une autonomie à la mer très importante et d’une survivabilité renforcée, F126 būs ārkārtīgi vāji bruņoti tādas tonnāžas kuģim, avec seulement 16 silos verticaux Mk41 destinés à accueillir 64 missiles anti-aériens à moyenne portée ESSM, 8 missiles anti-navires NSM, 2 systèmes CIWS C-RAM et un canon de 127 mm, là ou, par exemple, les destroyers américains de la classe Arleigh Burke jaugeant 9700 tonnes pour 155 mètres de long, emportent 96 silos verticaux. Toutefois, selon une information qui a enflammée les réseaux sociaux spécialisés, la Bundesmarine semblerait vouloir corriger le tir avec la prochaine classe de frégate F127, qui atteindrait 220 mètres de long et de 12.000 tonnes de déplacement, qui doit entrer en service au cours de la prochaine décennie. La Bundesmarine s’apprête-t-elle à lancer, elle aussi, un programme Super-Destroyer ? c’est loin d’être acquis …

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