Entre la mise sous sanction d’Ankara par Washington et l’Union européenne en début d’années, et le retrait de l’autorisation d’exportation des moteurs Rotax décidé par le canadien Bombardier, l’industrie aéronautique turque semblait dans une très mauvaise passe, et ce d’autant qu’elle doit répondre à des calendriers de livraisons déjà tendu, tant vis-à-vis des forces armées nationales que de l’exportation. Et même si d’apparence les autorités turques semblent vouloir aplanir les tensions avec Washington et Bruxelles, de nombreux sujets de forte tension perdurent, en Irak par exemple.
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