Suite à l’élection de Joe Biden à la Maison Blanche, les autorités turques, alors sous le coup de sanctions américaines et européennes, semblèrent infléchir leur politique extérieure, dans le but évident de revenir dans les bonnes grâces de son principal allié lors des 70 dernières années, les Etats-Unis, et de son principal partenaire commercial, l’Union européenne. Ankara proposa à Washington des approches « alternatives » au sujet de la mise en oeuvre des systèmes S-400 acquis auprés de Moscou et principal cause de tension entre les Etats-Unis et la Turquie, qui fut évincée initialement du programme F35 et qui fait l’objet de sanctions militaires en application de la législation CAATSA depuis la fin d’année dernière.
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