Depuis Mercredi dernier, et l’annonce par Canberra, Washington et Londres de la signature d’un traité d’alliance tripartite et du remplacement du programme de sous-marins à propulsion conventionnelle Shortfin Barracuda de facture française par un modèle de sous-marin nucléaire d’attaque américain ou britannique, de nombreuses informations, souvent confuses, ont émergé dans la presse au sujet du type de réacteur qui serait employé, et du respect de la législation internationale par ce contrat. Il semble important de présenter une vision apurée et compréhensible des solutions technologiques et des réglementations auxquels il est souvent fait référence, de sorte à comprendre les enjeux d’une telle décision. Dans les faits, celle-ci entraine une cascade d’événements qui, s’ils n’étaient ignorés de personne jusqu’à présent, étaient tout de même soigneusement tenus sous contrôle.
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