Les sous-marins français peuvent-ils séduire le Canada ?

Depuis l’annulation du contrat australien portant sur la réalisation de 12 sous-marins de la classe Attack dérivés du Shortfin Barracuda, les autorités françaises, et le constructeur Naval group, ne ménagent pas leurs efforts pour tenter de compenser les effets économiques et industriels de cette décision, notamment en intensifiant l’action politique et commerciale pour convaincre d’autres partenaires internationaux éventuels d’acquérir des submersibles français. Dans ce contexte, la volonté du Président Emmanuel Macron de rencontrer « rapidement » le premier ministre canadien Justin Trudeau pour « échanger sur les conséquences de l’alliance AUKUS » nouvelle créée, a ouvert la voie à de nombreuses spéculations concernant une offre française pour remplacer les 4 sous-marins de la classe Victoria acquis d’occasion auprés du Royaume-Uni au début des années 2000, et qui souffrent d’importantes obsolescences et de graves problèmes techniques, rendant leur utilisation operationelle très difficile et incertaine.

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