La Grande-Bretagne conditionne une nouvelle commande de F35B à la baisse des couts de maintenance

Alors que les F35B de la Royal Air Force ont entamé, à partir du porte-avions Queen Elizabeth II, les premières missions et frappes opérationnelles de l’appareil en visant des cibles de l’Etat Islamique au Moyen-Orient, le ministre de La Défense britannique, Ben Wallace, a pondéré ces précédentes déclarations concernant de futurs commandes de l’appareil de Lockheed-Martin. Selon le ministre conservateur, ces nouvelles commandes n’interviendront qu’une fois que l’intégration du missile air-air à longue portée Meteor aura été réalisée et validée à bord du nouvel appareil. Surtout, il a annoncé, ce 23 juin, que celles-ci n’interviendront qu’une fois que les couts de maintenance et de mise…

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La Royal Navy va envoyer 165.000 tonnes de diplomatie dans le Pacifique

De toute évidence, les autorités britanniques comme la Royal Navy veulent faire du premier déploiement opérationnel de longue durée de leur nouveau porte-avions, le HMS Queen Elizabeth, un événement aussi marquant que symbolique. En effet, le groupe aéronaval qui appareillera le mois prochain pour une mission de 28 semaines dans l’Océan Indien et dans l’Océan Pacifique, sera composé de pas moins de 8 navires majeurs cotés britanniques, représentant un tonnage total de 165.000 tonnes, supérieur à la jauge globale de Marines comme la Turquie ou le Brésil. Pas mois de 18 F35B embarqueront sur le HMS Queen Elizabeth, dont 8 appartenant à la Royal Air…

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Avec le Vixen, la Royal Navy étudie l’emploi d’un drone de combat embarqué polyvalent

Visiblement, l’ambition de doter les porte-avions HMS Queen Elizabeth et HMS Prince of Wales d’une catapulte et de brins d’arrêt pour mettre en oeuvre des drones de combat prend de l’ampleur au sein de la Royal Navy. En effet, selon plusieurs articles parus outre dans la presse spécialisée outre manche, la Royal Navy étudie activement la possibilité d’employer un drone de combat à voilure fixe, désigné programme Vixen, à bord de ses porte-avions, pour remplir de nombreuses missions, allant de l’alerte aérienne avancée au ravitaillement en vol, en passant par les frappes air-sol et air-surface, et les missions de renseignement et de communication. Mieux, l’objectif…

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Le Royaume-Uni va commander plus de F35B dans les années à venir

En amont de la publication de la nouvelle Revue Stratégique Intégrée, de nombreuses rumeurs ont circulé quant aux arbitrages qui seront menés par le gouvernement Johnson, pour redéfinir le format des armées britanniques. Parmi elles figurait en bonne place l’hypothèse d’une baisse significative des commandes d’avions F35 dont la Grande-Bretagne s’était engagée à commander 138 exemplaires. Longtemps, il fut même question de limiter le format de la flotte de cet appareil indispensable à l’utilisation des deux nouveaux porte-avions de la classe Queen Elizabeth, à seulement 48 aéronefs, soit le nombre d’appareils d’ores et déjà commandés et en cours de livraison. La publication de la Revue…

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La Royal Navy veut une catapulte et des brins d’arrêt sur ses porte-avions

Depuis le porte-avions HMS Bulwark entré en service en 1959, la Grande-Bretagne n’a plus conçu de porte-avions dotés de catapultes et de brins d’arrêt, capables de mettre en oeuvre des avions à voilure fixe embarqués conventionnels. Avec l’arrivée du Harrier et du Sea Harrier à décollage et atterrissage court ou vertical, la marine britannique choisit en effet de concevoir des porte-avions dotés de tremplins, certes moins efficaces, mais également beaucoup moins onéreux que leurs homologues dotés de catapultes, comme les porte-avions de la classe Clemenceau français, ou leur successeur, le porte-avions nucléaire Charles de Gaulle. Les deux derniers porte-avions britanniques, le HMS Queen Elizabeth et…

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La Royal Navy conservera ses 2 navires d’assaut de la classe Albion jusqu’en 2033

On mesure mal, vu de l’extérieur, à quel point les armées britanniques étaient inquiètes de leur sort avant que le premier ministre, Boris Johnson, n’annonce une politique de renforcement des moyens de la Défense du royaume la semaine dernière, prenant le contre-pieds de plusieurs semaines, et mêmes plusieurs mois, de spéculations anxieuses. Parmi les nombreux sujets d’inquiétude qui entamaient le moral des militaires britanniques, le possible retrait anticipé du service des deux navires d’assaut HMS Albion et HMS Bulwark, n’était par le plus spectaculaire ou le plus médiatisé, mais il était probablement l’un de ceux qui pouvait le plus handicaper les capacités militaires réelles des…

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Pour financer le programme Tempest, Londres pourrait diviser par 2 son parc de F35B

En 2010, la Royal Air Force justifiait, en partie, le retrait de ses 72 Harrier du service par le fait que la mise en oeuvre d’une flotte aussi restreinte d’appareils était à la fois compliquée et très onéreuse. C’est pourtant bien ce qui risque de se produire dans les années à venir, puisque selon la presse britannique, le gouvernement de Boris Johnson envisagerait sérieusement de diviser par 2 le parc de 138 F35B, dont l’acquisition était planifiée sur la première moitié de la durée de production de l’appareil américain. Les économies réalisées, représentant au moins 8 Md£ sur le simple budget acquisition, serait alors fléchées…

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HMS Queen Elizabeth et porte-avions Charles de Gaulle : deux conceptions différentes du combat aéronaval

Le 29 avril dernier, le porte-avions britannique HMS Queen Elizabeth appareillait de Portsmouth pour une longue campagne d’essais en mer. Auparavant, tout l’équipage a été testé contre le coronavirus, afin d’éviter à la Royal Navy de connaître les mêmes déboires que l’US Navy ou la Marine Nationale. Cette campagne de tests devrait permettre de qualifier le porte-avions pour ses premiers déploiements opérationnels, attendus désormais pour l’année prochaine. Dès 2021, donc, la Royal Navy devrait à nouveau disposer d’une capacité aéronavale, pour la première fois depuis le retrait des avions Harrier en 2010. Le futur de l’aéronavale britannique se dessine donc autour de ses deux nouveaux…

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Le LHD HMS OCEAN est vendu aux brésiliens après seulement 23 ans de service

Le navire d’assaut porte-hélicoptères HMS Ocean aura été le navire amiral de la Royal Navy pendant prés de 20 ans. Il a été retiré du service pour être vendu au brésil avec l’arrivée du porte-avions HMS Queen Elizabeth,pour un montant de 84,3 millions de Livres Sterling. Le navire de 21.000 tonnes est capable de projeter 400 hommes ainsi qu’une douzaine d’hélicoptères de tout type. Il renforcera significativement les capacités de la Marine Brésilienne après la décision de celle-ci de retirer du service le porte-avion Sao Paolo (Ex Clemenceau)  La revente d’un navire n’ayant pas 25 années de service peut apparaître comme étonnante. Pourtant, les britanniques sont…

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