En 2016, à la suite d’une compétition internationale, les autorités Thaïlandaises choisirent le sous-marin S-26T chinois, dérivé du Type 039A classe Yuan, pour constituer la force sous-marine du pays, dont la pourtant puissante Marine Royale Thaïlandaise est jusqu’ici dépourvue. Outre des performances satisfaisantes et une propulsion anaérobie fiable, l’offre chinoise s’appuyait sur un atout de taille, un prix unitaire de seulement 460 m$, moitié moindre que celui de ses concurrents mieux disants. Toutefois, dans sa proposition, Pékin avait inclus des équipements européens, en particulier des turbines allemandes construites par MTU, sans avoir pris la précaution de demander préalablement l’autorisation au motoriste allemand à ce sujet.
Accès réservé aux abonnés Premium
Les archives de plus de deux ans sont réservées aux abonnés Premium de Meta-Defense. Cet accès étendu permet de replacer chaque évolution dans le temps long et de suivre la cohérence des analyses.
L’offre Premium inclut l’ensemble des contenus récents et l’accès illimité aux archives.
Les commentaires sont fermés.