L’hypothèse du chantage nucléaire se concrétise à Pékin sur le dossier Taïwanais

Dès l’entame des opérations militaires en Ukraine fin février 2022, Moscou entreprit de faire croitre les tensions avec l’occident en multipliant les démonstrations de force, les exercices et les déclarations concernant l’usage possible de ses capacités nucléaires. Pour le Kremlin, il s’agissait d’empêcher les Européens et les Américains de répondre favorablement aux demandes ukrainiennes quant à la mise en oeuvre d’une zone d’exclusion aérienne mais également contre la livraison de systèmes d’armes performants occidentaux aux armées ukrainiennes. Si effectivement la « No Fly Zone » au dessus de l’Ukraine n’a jamais été mise en place, à juste titre puisque le risque d’une globalisation du conflit aurait été bien trop élevé, les européens et américains ont augmenté progressivement les quantités et les performances des materiels militaires fournis aux ukrainiens, sans que Moscou, et la menace nucléaire brandie de manière répétée, ne puissent effectivement s’y opposer.

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