Depuis son premier vol en 2010, la Russie a produit d’immenses efforts pour tenter de vendre le chasseur de 5ᵉ génération Su-57, sur la scène internationale, d’abord en Inde, puis dans d’autres pays, y compris la Turquie.
Jusqu’à présent, ces tentatives échouèrent, prises entre des performances incertaines du chasseur et de sa fiabilité et des problèmes de production côté russe, et surtout, face à la législation CAATSA américaine de 2018, promettant à tous les clients internationaux de l’industrie de défense russe, des sanctions exemplaires.
Cette législation fit notamment dérailler la commande de 24 chasseurs Su-35 par l’Égypte, alors même qu’une partie des appareils avait déjà été produite par l’industrie russe, après qu’une photo, publiée par un journaliste russe aujourd’hui emprisonné, révélait l’imminence de la première livraison.
En dépit de ces menaces et du poids potentiel des sanctions américaines, Moscou confirma, il y a quelques semaines, qu’un premier contrat export avait été signé, concernant le Su-57, sans toutefois donner le nom du client, précisément pour le protéger des pressions et menaces américaines et internationales.
Le 11 février, le voile a été levé sur l’identité de ce client, l’Algérie, la commande ayant été directement annoncée sur une des chaines publiques du pays. Cette annonce est cependant révélatrice d’une inflexion sensible de la législation CAATSA, Alger ne prenant certainement pas le risque des sanctions US, comme de se voir potentiellement priver des transactions en $, concernant ses exportations d’hydrocarbures.
Sommaire
L’Algérie confirme la commande d’un nombre indéterminé de chasseurs Su-57 russes de 5ᵉ génération
C’est à la mi-novembre 2024 qu’Alexander Mikheev, le CEO de Rosoboronexport, annonça qu’un premier contrat à l’exportation avait été signé au sujet du chasseur de 5ᵉ génération Su-57, baptisé Felon par l’OTAN.
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On commence à voir les premières sorties du PS au parlement européen et de Macron en France qui signaleraient un réveil politique. Que c’est lent, que c’est lent. Je ne comprends pas que la droite LR et RN ne se soient pas emparés de ces sujets. Nous parler à longueur de journée de sécurité intérieure, c’est bien, mais ça fait plutôt les affaires de Russes, qui mobilisent toute leur population autour d’une cause commune quand nous nous perdons en divisions internes. Je ne comprends pas que l’on soit passé de de Gaule à des notables de province bon teint ou de braves éleveuses de chats accompagnées d’as du selfie. Ils sont où les généraux, les grands commandants qui nous font à la fois peur et rêver? Passés à la moulinette féministe? Où sont l’Orgueil, le Courage, la Force, le Dépassement de soit pour servir un but plus grand? Est-on toujours obnubilé par nos délinquants, ou désirons nous nous rassembler pour faire face à nos ennemis réels?
Bref, une génération de politiques affairistes, obnubilés par les rétro commissions sur les fusacs et les traités internationaux doit laisser la place à des gens qui se soucieront du destin de la France et l’Europe comme société.
Ras la casquette de contempler la pauvreté du débats tandis que nos chefs militaires broient du noir et se font un sang d’encre.
Quelques chiffres pour vous donner l’ampleur de la tâche : de 2022 à 2025, les armées françaises auront vu leurs effectifs passer de 205,000 à 207,500, avec toujours 2 divisions et 6 brigades de combatA. Entre temps, les armées russes sont passées de 1 à 1,5 millions d’hommes, avec l’objectif d’atteindre 1,8 m d’ici à 2026, et de 12 à 23 divisions (3 blindées et 20 mécanisées).
je pense que beaucoup de pseudos « alliés » vont se rendre compte , dans les mois qui viennent, que trump se fiche des traités et des « amis » et que pour lui ne compte que le business. il est près à dire tout et le contraire en un rien de temps et ne respecte rien que la force, comme tout dictateur ou futur !
si l’europe ne prend pas immédiatement des mesures fortes pour lui répliquer il nous dépècera comme une vulgaire antilope que nous semblons être ! les mois qui viennent risquent d’être difficiles pour tout le monde.