La Marine militaire avait été, au cours de la Guerre Froide, le parent pauvre des forces armées de la République Fédérale d’Allemagne. Il s’agissait pour Bonn tant de limiter ses propres capacités de projection de puissance inhérentes aux flottes de haute mer, dans le respect de sa constitution, que de répondre à un besoin précis de l’OTAN, à savoir contrôler la Mer Baltique, alors que seuls la RFA et le Danemark avaient, à cette époque, des côtes sur cette mer. De fait, la Bundesmarine privilégiait alors des navires relativement compacts adaptés aux besoins spécifiques de la Baltique et de la Mer du Nord, l’exemple le plus flagrant étant sa flotte sous-marine composée de 11 Type 205, des sous-marins à propulsion conventionnelle de seulement 44 mètres de long et de 455 tonnes en plongée, armés par un équipage de 22 hommes, et aux performances limitées, notamment en terme de plongée avec une profondeur maximale de 100m. Pour autant, ces sous-marins, comme les corvettes des classes Guépard, Albatros et Tiger qui, elles non plus ne dépassaient les 500 tonnes, étaient bien adaptés pour les missions alloués par l’OTAN cette marine en Mer Baltique.
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